Depuis le coup d’État de la Séléka, le 24 mars 2013, les activités de la Commission ont été régulièrement perturbées par les soubresauts de la crise centrafricaine. Son siège, qui a servi pendant plusieurs semaines de refuge à une grande partie de ses 300 salariés, a été évacué une première fois en avril. Le personnel est revenu progressivement courant juillet, et les activités ont repris en août. Mais début décembre, une soudaine détérioration de la situation sécuritaire a entraîné une nouvelle évacuation.
Source : JeuneAfrique